Le Grand Conseil désire le maintien des Forces aériennes sur l’aérodrome de Sion mais souhaite poursuivre le dialogue avec les militaires pour minimiser les nuisances tout en poursuivant l’activité économique dans la capitale.
Réjouissez-vous: on n’échappera pas aux Gripen!
Lors de sa conférence à la caserne de Mägenwil, le chef du DDPS, M. Ueli Maurer, se dit prêt à renoncer à des sites et des bases aériennes (p.19) mais veut absolument acheter le Gripen (p.20)!
Une nouvelle vocation pour la Base aérienne
Pourquoi la Base aérienne de Sion ne retrouverait-elle pas sa véritable vocation, celle des années 1970 – cf article NF 70ans base aérienne, avec la maintenance des avions à moteur (et les hélicoptères) et la formation des pilotes (sur avions à moteur Pilatus PC21).
Le centre de développement technologique des Forces aériennes pourrait y être déplacé (tests des drones – cf. article NF drones en Suisse). La surveillance aérienne avec ces nouveaux engins pourrait aussi être assurée depuis Sion puisque les conditions atmosphériques sont idéales.
Nous aurions ainsi un aéroport sans jets à réaction militaires et un potentiel fantastique pour le maintien des places de travail et la poursuite de la formation de polymécaniciens.
Article de Slobodan Despot
Slobodan Despot, éditeur et écrivain, propose sa vision de la situation avec la présence d’un aérodrome de guerre à proximité de la Ville de Sion. Edifiant ce qui pourrait se passer en cas de conflit. Les aérodromes de guerre doivent être déplacés dans des zones sans population!!! Voir l’article:
Réaction du PDC
Les propos du président de la Commission de l’Aéroport de Sion, M. Cyrille Fauchère ont sidéré le PDC de Sion, comme le montre le communiqué de presse du PDC (ici sur le site du PDC).