Stratégie de l’ARAS concernant l’aéroport de Sion

La base aérienne de Sion pourrait être abandonnée ; la décision sera communiquée à fin novembre 2013. Le Journal de Sion a fait un tour d’horizon auprès des différents acteurs concernés. La Municipalité de Sion par son Président Marcel Maurer maintient son point de vue qu’il faut garder une activité militaire aussi raisonnable que possible. L’Etat du Valais reste étonnamment muet sur la question. Le communiqué de presse de l’ARAS y est par contre entièrement publié ; tous les Sédunois et Sédunoises sont donc informés sur la stratégie de notre Association.

Interview du président de l’ARAS sur l’avenir de la Base aérienne de Sion

Le président de l’ARAS, Jean-Paul Schroeter, interviewé par Rhône FM lundi 7 octobre à 12h15 réaffirme la position de l’ARAS :

  1. revenir à l’état 2001 à court terme
  2. abandon des jets à réaction à moyen terme
  3. développement d’activités militaires non bruyantes

Et si la base disparaît – il semblerait qu’il y ait 90% de chances que cela soit le cas -création d’une société à économie mixte pour le développement économique de l’aéroport civil.

Ecouter l’interview ici et choisissez 12h15, 17h et encore 18h, à chaque fois de nouveaux éléments.

Communiqué de presse sur l’abandon de la base aérienne de Sion

L’Aras maintient sa position d’une base aérienne à Sion, sans jets à réaction mais avec des activités moins bruyantes à définir ensemble avec les différents acteurs. En cas de départ des Forces aériennes, le Canton en collaboration avec la Municipalité de Sion, doit activer la mise en place d’une société d’économie mixte de gestion de l’aéroport de Sion avec comme partenaires les communes environnantes, les stations touristiques, les compagnies rattachées à l’aéroport civil et des investisseurs. Les frais de fonctionnement ne devraient pas dépasser les 5,5 Mios si l’on extrapole les coûts avancés par le rapport EPFL de mai 2012.

Le communiqué en PDF

Communiqué de presse sur l’abandon de la base aérienne de Sion

L’Aras maintient sa position d’une base aérienne à Sion, sans jets à réaction mais avec des activités moins bruyantes à définir ensemble avec les différents acteurs. En cas de départ des Forces aériennes, le Canton en collaboration avec la Municipalité de Sion, doit activer la mise en place d’une société d’économie mixte de gestion de l’aéroport de Sion avec comme partenaires les communes environnantes, les stations touristiques, les compagnies rattachées à l’aéroport civil et des investisseurs. Les frais de fonctionnement ne devraient pas dépasser les 5,5 Mios si l’on extrapole les coûts avancés par le rapport EPFL de mai 2012.

Base aérienne de Sion en sursis ?

RTS – info  / TJ 19.30 du 18.09.13 : La Base aérienne de Sion pourrait être supprimée. Réponse le 24 novembre lors de la conférence des chefs de départements cantonaux des affaires militaires.