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Hélicoptères d’épandage

Les vols d’épandage à travers la vallée ont repris depuis la fin mai. Ces vols sont jugés nécessaires et efficaces par les milieux valaisans concernés mais ne sont pas vus d’un bon œil par l’Association « Vision Landwirtschaft » pour les motifs suivants :

  1. Produits épandus.
  2. Distances à respecter avec les bosquets ou les cours d’eau.
  3. Écosystèmes contaminés.
  4. Pollutions de cours d’eau.

D’autre part, les hélicoptères ne bénéficient d’aucune place de stationnement et de lavage Adhoc en termes de vol et d’environnement. Une solution doit être trouvée dans les plus brefs délais selon un postulat déposé par M. Emmanuel Chassot, PDCC.

L’Aras tolère l’épandage par hélicoptères dans le respect de l’autorisation de l’OFAC (pas de décollage avant 6h00) et attend la mise en place rapide d’infrastructures adéquates pour leur stationnement et leur lavage.

Vols FA/18 et PC21 – Touch and go

Janvier et Février 2018 avaient vu le DDPS communiquer, via la Base aérienne de Payerne, les mouvements planifiés sur la Base de Sion :

En Mars et Avril, toute une série de « touch and go » ont été effectués mais aucune communication ni aux autorités ni à la population n’a été formulée.

Suite à un courrier explicatif très apprécié et très détaillé sur les activités sédunoises données par le Commandant de la Base aérienne de Payerne, le Col EMG Benoît Studenmann.

l’Aras demande que les informations soient à nouveau transmises, selon le processus qui avait parfaitement fonctionné jusqu’à ce jour.

L’Aras en Assemblée Générale

L’Aras a tenu ses assises ce 22 mars ; elle se réjouit de l’année 2018 pour 3 raisons :

  1. Elle fait partie du Comité de pilotage consultatif et peut directement faire part de ses exigences.
  2. Elle entretient d’excellentes relations avec la Municipalité de Sion et la Direction de l’Aéroport ; là aussi, un suivi des dossiers est assuré.
  3. Le contact a été établi avec la Base aérienne de Payerne qui dirige les opérations sur la Base de Sion. Elle peut donc formuler en direct ses demandes et ses mécontentements sur les évolutions des Forces aériennes dans l’espace valaisan.